Il existe un large choix de lampes de vélo sur le marché. Heureusement pas besoin d’être une lumière pour trouver un éclairage de qualité, durable et peu coûteux. Je vous donne ici un exemple avec mon matériel que j’emporte en bikepacking. (qu’est ce que le bikepacking ?)
Un éclairage simple pour être vu
1- L’éclairage sur le vélo
Je n’ai pas recherché la lampe la plus puissante et avec la plus grande autonomie dans la mesure où j’ai essentiellement roulé en période estivale. En effet, je recherchais un éclairage peu encombrant et léger qui me servirait en cas d’urgence ou pour être vu sur des sections de routes dangereuses. En revanche je ne prévoyais pas de rouler de nuit. Ainsi, à l’avant j’ai utilisé le modèle de chez Sigma: la Buster 300 et à l’arrière simplement une Decath vioo clip! 300 lumens* offre une grande puissance pour sa taille minimale. Je l’ai également utilisé en course de nuit Sainté lyon à vélo en complément de sa petite sœur la Buster 200 qui offre 500 lumens au total (minimum conseillé sur cette course).
2- L’éclairage pour camper
Le soir, lorsque la nuit tombait laissant place à l’obscurité (pas totale nécessairement) j’ai utilisé une lampe type lanterne: le modèle Luci. Elle se recharge au soleil et peut se plier. L’éclairage est super et ça apporte un peu de charme au campement. Beaucoup de voyageurs utilisent une lampe frontale classique. C’est une bonne option également si l’on se retrouve à cuisiner de nuit ou simplement monter la tente par faible luminosité.
Quand est-il des systèmes de moyeux dynamo?
Des moyeux de plus en plus performants
Les modèles de moyeux dynamo sont une très bonne solution pour avoir un éclairage constant et autonome. Les nouveaux modèles sont plus performants et offrent même la possibilité de recharger des appareils en plus de l’éclairage. Il faut tout de même prévoir un montage de roue et l’installation de câbles (sauf si votre vélo est déjà équipé du moyeux en question).
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